Un court-métrage où la peinture danse, portée par une composition originale d’Archil & Leon. Silvère Jarrosson, ancien danseur de l’Opéra de Paris devenu peintre, et le chorégraphe Julien Gaillac créent une œuvre où corps, toiles et musique dialoguent.
Une fusion naturelle des arts
Cette collaboration réunit deux artistes aux parcours singuliers : Silvère Jarrosson, dont le geste pictural est nourri par son passé de danseur classique, et Julien Gaillac, chorégraphe reconnu pour sa capacité à faire dialoguer la danse avec d’autres formes d’art.
Une chorégraphie à multiples dimensions
Dans cette création, la danse transcende les corps pour habiter chaque élément du film. Les interprètes évoluent dans un dialogue constant avec la matière picturale qui s’écoule sur les toiles, créant une chorégraphie parallèle où la peinture devient elle-même danseuse. La caméra, loin d’être simple observatrice, participe à cette danse collective, ses mouvements fluides tissant une nouvelle dimension chorégraphique. Cette symphonie visuelle est sublimée par la composition originale d’Archil & Leon, dont les sonorités accompagnent et guident cette danse totale, créant un moment suspendu où tous les éléments se répondent dans une poésie visuelle et sonore.
L’abstraction en mouvement
Cette création fait écho à la démarche artistique de Silvère Jarrosson, lauréat de la Fondation Claude Monet, qui travaille la matière picturale comme un corps vivant. Sa technique unique, mêlant huile et acrylique, trouve ici un prolongement chorégraphique naturel.
Une partition sonore sur mesure
Archil & Leon signent une composition qui épouse les mouvements des danseurs et de la peinture, créant une atmosphère où le son devient partie intégrante de cette chorégraphie visuelle.