Pour accompagner la première de « NODES » au Festival Kalypso à La Villette, Moovance a créé une vidéo qui plonge dans l’univers intime d’Aurélien Collewet, alias Skuibi. Une exploration visuelle où la danse devient le langage des nœuds intérieurs.
Une gestuelle née de l’introspection
Aurélien Collewet a développé un style unique, où chaque mouvement raconte son histoire personnelle. Sa danse nouée, proche du corps, n’est pas une simple signature esthétique mais le reflet d’un questionnement profond sur ses contraintes internes. Cette gestuelle singulière, mêlant travail de clés et mouvements contraints, traduit physiquement les nœuds mentaux qui habitent l’artiste.
Un espace qui résonne avec l’intime
Pour cette création vidéo, moovance a choisi un environnement qui fait écho à la dramaturgie de « NODES ». Dans cet espace à l’architecture unique du Pavillon Villette, le corps d’Aurélien se déploie comme une métaphore de son parcours : de l’étouffement à la libération, de la contraction à l’expansion. Les murs deviennent les frontières tangibles de ses limitations personnelles, que sa danse tente progressivement de transcender.
Une narration visuelle du dénouer
Cette vidéo suit la progression émotionnelle du spectacle : des mouvements initialement contraints et hésitants évoluent vers une gestuelle plus libérée. Sur une composition originale envoûtante de Leon Afterbeat inspirée du spectacle de Skuibi, moovance capture cette quête d’affranchissement, où chaque mouvement représente une étape vers l’acceptation et la liberté.